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Andropause : symptômes, risques, prévention

Andropause, baisse de testostérone : symptômes et prévention
Bouffées de chaleur, vie sexuelle bouleversée, irritabilité… LaNutrition.fr vous aide à passer le cap en vous indiquant les aliments à privilégier ou à soulager naturellement les bouffées de chaleur. En cas de chute importante et avérée du taux d’androgènes et de symptômes en découlant, l’andropause peut être traitée par des préparations hormonales afin d’augmenter le taux d’androgènes. La durée de l’andropause varie selon les personnes et peut atteindre sept ans.
Le corps médical a mis un jour qu’un symptôme de l’andropause peut être un cancer de la prostate ou un accident vasculaire cérébral. Au-delà du simple andropause symptôme, il s’agit donc d’une conséquence grave de l’andropause pour l’homme. Des effets secondaires qui peuvent, en effet, avoir des effets dramatiques. L’andropause se manifeste généralement autour des 40 ans, avec une diminution progressive et constante de testostérone, qui s’intensifie au-delà de 60 ans. Le déclin de la production hormonale est lié à l’âge et rien ne permet donc de prévenir la survenue de l’andropause.
Lorsqu’il y a une baisse de la sécrétion de testostérone, le vieillissement naturel et l’élévation du taux de SHBG sont souvent en cause. En effet, l’augmentation de cette protéine a pour effet de retirer de la circulation sanguine la testostérone. Le Docteur Beley, médecin urologue à Paris mentionne que l’andropause s’accroît avec l’âge, et les symptômes physiologiques apparaissent généralement à partir de 45 ans. En effet, selon une étude, seulement 2 % des hommes âgés de 40 à 80 ans vivent une andropause (source). Cela représente 3 % chez les hommes de 60 à 69 ans et 5 % chez les hommes de 70 à 79 ans.
Cependant, certains hommes peuvent ressentir les symptômes dès 40 ans, tandis que d’autres n’en souffriront pas avant la soixantaine. L’andropause ne se manifeste pas de manière aussi soudaine que la ménopause, mais elle n’en est pas moins perturbante pour ceux qui en souffrent. La variabilité des symptômes est due en grande partie aux différences de taux de testostérone entre les hommes. La baisse de testostérone peut survenir à tout âge, mais l’andropause peut commencer plus naturellement à partir de 45 ans. S’il y a des symptômes, ils sont généralement présents autour de 65 ans. Avant de consulter un(e) professionnel(le) de la santé, vous pouvez répondre au questionnaire ADAM (Androgen Deficiency in Aging Men), ci-dessous. Celui-ci permet d’évaluer en dix questions simples si les symptômes ressentis semblent être liés à l’andropause.
Ainsi, l’alcool réduit le taux d’hormone lutéinisante (LH) dans le sang. Il s’agit d’une des principales hormones qui contrôlent le système reproducteur. L’erreur la plus commune revient à attribuer de façon systématique la baisse de testostérone au vieillissement, alors que deux pour cent des cas d’hypogonadisme sont liés uniquement à l’âge. Enfin malgré le débat autour de ce traitement, l’administration de testostérone peut être envisagée. Elle n’est possible que chez les hommes ayant des symptômes prononcés, avec un déficit en testostérone confirmé par des dosages (source). La baisse de production de testostérone est inévitable et la durée du syndrome de l’andropause est aujourd’hui impossible à définir.
Souvent présentée comme le pendant de la ménopause, l’andropause n’est pas sans conséquence chez les hommes en vieillissant. En plus de réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de dépression, le sommeil peut également aider à maintenir le taux de testostérone. La recherche a montré que dormir moins de 6h par nuit peut à long terme faire chuter le taux de testostérone jusqu’à 15 %.
On est estime que pour les hommes quadragénaires et plus âgés, le taux de testostérone dans le sang diminue d’approximativement 1% par an. Pour rappel, la testostérone est l’hormone relative à ce que l’on appelle les caractères sexuels secondaires à savoir les poils, la voix grave ou encore la masse musculaire. Le principal traitement de l’andropause consiste à pallier la diminution des hormones par un apport de testostérone, sous forme de comprimés, d’injections, de gels ou de patchs. Cependant, ce traitement doit être prescrit avec précaution et sous surveillance médicale, car il peut entraîner des effets secondaires comme une hypertrophie de la prostate. Lorsque votre quotidien est rythmé par des problèmes de santé ou des évènements nocifs, il est judicieux de consulter régulièrement un médecin, voire un spécialiste. Pour l’andropause, le phénomène est identique, car vous aurez besoin d’être épaulé par des professionnels de la santé.
L’andropause ou « déficit androgénique lié à l’âge » désigne une baisse anormale de sécrétion de testostérone chez l’homme à partir de 45 ans et les symptômes physiologiques associés. Elle joue un rôle important dans le bien-être émotionnel et physique chez l’homme. Elle régule la libido, la masse osseuse, la répartition des graisses, la force musculaire et le système pileux. Elle contrôle également la production de globules rouges et de spermatozoïdes.
Même sans symptômes graves, il reste légitime de demander conseil si la sensation de vieillissement s’installe ou si le testostérone active la spermatogenèse; http://revista.med.unlp.edu.ar/media/pgs/supresores_del_apetito.html, doute existe. Un médecin sait écouter, proposer des analyses simples et discuter des options de prise en charge. Si la fatigue, la baisse de la libido ou les troubles de l’humeur persistent ou s’aggravent, il ne faut pas attendre.